Le HLA, acteur clé dans les greffes d’organes
Le HLA, ou Human Leukocyte Antigen, est un acteur clé dans le domaine des greffes d’organes à l’échelle européenne. Ces protéines situées à la surface des cellules du système immunitaire jouent un rôle déterminant dans la compatibilité entre donneurs et receveurs, ce qui influence directement le succès des greffes.
Dans les pays appartenant au réseau Eurotransplant (Belgique, Allemagne, Hongrie, Croatie, Luxembourg, Pays-Bas, Autriche et Slovénie), 6 460 greffes ont été réalisées en 2022. Les transplantations rénales arrivent en tête de liste en termes de fréquence la plus élevée, suivies par les greffes de foie, les poumons, le cœur et le pancréas.
La compatibilité HLA est un facteur critique dans la sélection des donneurs et des receveurs à travers l’Europe.
En France, l’agence de la biomédecine utilise notamment Cristal pour identifier les donneurs compatibles sur le plan HLA pour les patients en attente de greffes d’organes.
L’Europe est globalement confrontée à une demande en organes, qui dépasse souvent l’offre disponible. En France, ce sont près de 10 000 patients qui sont en attente de greffe chaque année…
L’informatique se révèle être un atout majeur dans la prise en charge des demandes de greffe, améliorant ainsi les chances des patients en attente.
L’un des éléments cruciaux dans le processus de greffe est la compatibilité entre le donneur et le receveur. Cette compatibilité est largement déterminée par les caractéristiques génétiques, y compris les HLA (Human Leukocyte Antigen). Les systèmes informatiques comme Clinisys HLA Transplant peuvent désormais effectuer des analyses de Next Generation en intégrant des résultats complexes et de haute définition.
Comment ?
Via nos interfaces et en structurant les résultats de typage et screening dans notre base de données et affichant les différents résultats dans nos écrans métiers.
Gérer le suivi du receveur
Il est impératif de maintenir une gestion efficace du suivi des résultats afin d’apporter une rapidité de visualisation des informations essentielles. Pour cela nous apportons notre expertise dans la fiabilité à l’accès aux données.
Télétransmettre des données
L’utilisation de la télétransmission des données médicales facilite également le processus de transplantation. Les dossiers médicaux des patients peuvent être partagés en temps réel entre les établissements médicaux, permettant une évaluation rapide de la viabilité de la greffe et une coordination plus fluide entre les équipes médicales.
L’avenir de la greffe assistée par l’informatique
À mesure que la technologie informatique continue de progresser, il est fort probable que l’efficacité des greffes d’organes s’améliorera encore. L’intelligence artificielle, par exemple, pourrait jouer un rôle essentiel dans la prédiction de la compatibilité et la personnalisation des traitements post-greffe.
Peu à peu l’informatique révolutionne la gestion des greffes d’organes en accélérant les réponses aux demandes de greffe, en améliorant la gestion des listes d’attente et en permettant la télétransmission des données médicales. Ces dernières avancées laissent espérer un avenir plus prometteur pour les patients en attente.
Contenu associé
Clinisys GLIMS Genetics
GLIMS Genetics couvre le spectre complet de la génétique afin de créer des flux de travail numériques s’intégrant parfaitement avec votre SIL.
Clinisys GLIMS Genetics convainc le marché Européen
En moins de 3 ans, la solution Clinisys GLIMS Genetics dédiée spécifiquement à la biologie moléculaire et à la génétique pour les laboratoires, s’est rapidement imposée sur le marché grâce à sa puissance, ses performances et sa flexibilité. Et avec l’extension GLIMS Genetics Counseling, permettant de gérer les consultations génétiques cliniques, elle étend encore ses fonctionnalités dans ce domaine en pleine expansion.
Génétique humaine et diagnostic moléculaire : Des solutions innovantes pour des besoins en constante évolution
Alors que la génétique humaine et le diagnostic moléculaire connaissent un développement sans précédent, les systèmes d’information de laboratoire (SIL) traditionnels sont-ils encore capables de répondre aux exigences dans ces domaines, ou serait-il plus efficace de mettre en œuvre de nouveaux types de solutions logicielles ?